Donner ses invendus ? Et si on arrêtait les idées reçues ?

Dans les pharmacies, de nombreux produits encore parfaitement utilisables sont écartés. Non pas parce qu’ils sont inutiles, mais parce que certaines idées reçues freinent encore leur valorisation.

Chez Pharmagreen, nous pensons qu’il est temps de changer de regard. Donner ses invendus n’est pas une contrainte : c’est une opportunité. Économique, sociale et environnementale.

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Cinq idées reçues à dépasser

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"On le passera en promotion."
Un produit resté trop longtemps en rayon finit souvent… à la poubelle. Même soldé, il ne trouve pas toujours preneur. La promotion ne suffit pas à limiter le gaspillage.

"Donner, c’est trop compliqué."
Avec Pharmagreen, c’est plus simple qu’on ne le croit. Un bordereau, un clic, et les produits quittent la pharmacie pour être redistribués à des associations locales. Le processus est rapide, sans engagement, et pensé pour les équipes officinales.

"C’est bientôt périmé, donc inutile."
Une DDM (durée de vie minimale) proche ou dépassée ne veut pas dire inutilisable. Tant qu’un produit est encore bon, il peut être utile à d’autres. Ce qui compte, c’est sa valeur d’usage.

"Je perds de l’argent si je donne."
C’est l’inverse. En donnant, vous bénéficiez d’une réduction fiscale de 50 % de la valeur du don. C’est aussi une façon de libérer de l’espace et de renforcer l’image responsable de l’officine.

"Ce n’est pas mon rôle."
Les pharmaciens sont des acteurs de santé. Ils peuvent aussi devenir des acteurs de solidarité, en contribuant à la redistribution locale de produits essentiels.

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Donner, c’est agir : Chez Pharmagreen, nous accompagnons les pharmacies dans une démarche simple et vertueuse : celle de donner une seconde vie à leurs invendus. C’est un geste concret contre le gaspillage, qui crée de l’impact à tous les niveaux.

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Et si vous passiez à l’action ?

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Rejoignez les pharmacies déjà engagées.
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